L’ouvrage « Mon voile – ma couronne » est un livre d’une grande morale très profitable pour les femmes musulmanes. Avec le retour de la spiritualité, les preuves présentes dans ce livre confortent le cœur de toute fille ou femme qui hésite à franchir le pas du voile. Cette prescription religieuse obligatoire pour la femme musulmane est très décriée par les détracteurs de l’Islam. Pire encore ! L’acharnement et la médiatisation font prendre le chemin contraire ou culpabiliser les filles. Ce livre permet donc de renouer avec son Créateur pour comprendre le but et la visée du port du hijab.
Une histoire d’amitié entre deux sœurs Fillah
Tout d’abord, « Mon voile-ma Couronne » est un dialogue qui s’inscrit dans la même logique que « Discours avec un athée ». En effet, cette anecdote démontre avec preuve et raison les fondements et la législation du hijab en Islam. Cette anecdote se déroule à travers l’histoire de deux filles : Assya et Afnân. Afnân apprendra les règles de la pudeur et influencera son ami avec sagesse pour influencer son amie à devenir comme elle.
Une musulmane soumise qui respecte les précepte de l’Islam et les règles de bonne conduite.
« Mon voile ma couronne » : un ouvrage utile pour les sœurs qui hésitent
De plus, l’Occident ne facilite pas l’émancipation des filles musulmanes. Pourtant, le voile fait amplement partie de leur religion. Ce livre est là pour renouer avec ce principe fort délaissé depuis plusieurs décennies. Les filles et femmes attentives qui liront ce livre remarqueront que la miséricorde est bien au rendez-vous.
Qu’elles sachent que le Shaytan leur fait croire qu’elles vont tomber dans la pauvreté. En revanche, leur Seigneur est attentif. Enfin, Il viendra avec empressement si elles se tournent vers son obéissance.
Le Prophète ﷺa dit parmi ce qu’il a raconté au sujet de son Seigneur Puissant et Glorieux :
« Lorsque mon serviteur se rapproche de Moi d’un empan, Je Me rapproche de lui d’une coudée. Lorsqu’il se rapproche de Moi d’une coudée, Je Me rapproche de lui d’une envergure (de bras). S’il vient à Moi en marchant, Je viens à lui avec empressement ».
[Al-Boukhari, riyad as-salihin n°96]